Malgré le recul des expéditions d'acier, ses programmes de rachats d'actions et ses investissements, ArcelorMittal est assis sur une abondante trésorerie. Il a achevé le trimestre sur un chiffre d'affaires record et un endettement historiquement faible.
La rédaction répond à la question d'un abonné: "Sprott Physical Uranium Trust n'a pas été admis à la cote sur le NYSE, mais Sprott Asset Management a récemment repris la gestion de l'ETF URNM. Que penser de cela?"
La principale contribution au bénéfice d'Umicore provient toujours du recyclage, dont le bénéfice opérationnel devrait approcher cette année 500 millions d'euros. La hausse des prix des métaux procurera au groupe un bonus de 270 millions d'euros.
L'exercice 2021 a été à peine meilleur que les deux précédents, catastrophiques, pour le groupe. Il reste déficitaire malgré la reprise de la production et la réduction du coût moyen de production, lequel demeure toutefois élevé. Ses résultats sont encore bien en deçà de ceux de ses concurrents.
Les éléments de terres rares sont devenus indispensables. Mais c'est la Chine qui en produit le plus et en détient le plus clair des réserves mondiales. Il va falloir que l'Europe réduise sa dépendance à l'empire du Milieu.
En plus d'être le plus grand projet d'uranium à développer, Arrow fait partie des 10% de mines d'uranium les moins onéreuses du monde. Le potentiel d'exploration autour de cette zone est considérable, ce qui ne gâche rien.
La rigueur avec laquelle Bekaert se prépare depuis plusieurs années à devoir faire face à une conjoncture difficile, porte ses fruits. Malgré les difficultés d'approvisionnement et le contexte géopolitique, le spécialiste du fil d'acier signe d'excellents résultats.
L'envolée des prix des matières premières est tout bénéfice pour Rio Tinto, qui ne sent même pas passer celle des coûts de l'énergie et de la main-d'oeuvre. Ses cash-flows permettent à la société minière d'investir, de rembourser sa dette et de choyer ses actionnaires.
La demande de ce métal, qui joue un rôle crucial dans l'économie verte, s'envole. Il est possible de profiter de cette tendance en investissant dans des sociétés qui tirent du cuivre une part importante de leur chiffre d'affaires.
La décision du groupe de relancer la production est mûrement réfléchie. Les fondamentaux du marché de l'uranium ont évolué positivement ces derniers trimestres.
Le premier producteur mondial d'acier a connu une année exceptionnelle, l'an passé. Après quelques années de restructuration et entre autres parce que la conjoncture s'améliore, ses résultats ne devraient plus décevoir.
Afin de profiter au maximum de l'envolée du prix du métal, le groupe a élaboré un ambitieux plan de développement. Sa valorisation est pour l'heure attrayante.
La rédaction répond à la question d'un abonné: "Comment expliquez-vous l'effondrement de Gatos Silver, au sujet duquel vous étiez pourtant si enthousiaste?"
Le cours du nickel, qui avait gagné 25% de sa valeur l'année dernière, a flirté en janvier 2022 avec un plus haut qu'il n'avait plus atteint depuis début août 2011.
Si la valeur compte parmi nos 10 favorites pour 2022, c'est que la création du trust, en juillet dernier, s'est accompagnée de changements intéressants pour l'investisseur, dans un contexte de marché haussier pour l'uranium, et surtout, que la probable cotation américaine viendra encore doper le cours de l'action.
Tout va très bien pour celle qui est à nos yeux la Rolls-Royce des sociétés de royalties sur les métaux précieux. La formidable diversification de son portefeuille d'actifs est un gros atout.
La rédaction répond à la question d'un abonné: "Un gigantesque plan d'investissement dans les infrastructures a récemment été approuvé aux Etats-Unis. Comment en profiter?"
L'action du géant de l'acier a chuté de plus de 10% depuis son sommet d'août, malgré le rachat massif d'actions propres. Sa valorisation est d'autant plus attrayante que son bilan s'est bien amélioré.