Avec une perte de chiffre d'affaires estimée à 250 millions d'euros, les dégâts provoqués par l'invasion de l'Ukraine semblent limités. D'autant que les ventes en Chine devraient repartir à la hausse, ce qui permet au groupe de tabler sur une appréciable croissance. Ce n'est pas GBL qui s'en plaindra.